Bonjour Eric,

Bravo pour ces deux chapitres qui nous montrent qu’Héloïse ne peut pas vivre sans L’enserpent. Nous avons adoré le passage où notre héroïne préférée voit quelque chose qui ressemble à un crocodile.

A partir du chapitre 6, nous avons eu envie d’écrire les mots d’Héloïse à L’enserpent sur un tableau :

Tu me manques tellement, même les filles sont tristes. L’enserpent, sans toi, je suis perdue. Où es-tu ?

Je suis à ta recherche.

Réponds-moi !

Je suis triste que tu sois parti…

J’espère que tu n’es pas mort à cause de la grosse vague sinon je n’ai plus d’ami car je n’ai que toi.

L’enserpent était très gentil, maintenant il n’est plus là.

Je suis triste.

Je dois lui manquer. Je me décourage trop vite. Il faut absolument que je le retrouve.

Je décrocherais la lune pour lui !

Tu me manques beaucoup. J’avais bien aimé la façon que tu avais eue de nous dire bonjour avec les bonbons.

Pour moi, tu seras toujours le meilleur ami !!!

J’aimerais te revoir car je n’ai pas encore trouvé ton trésor…

Je voudrais jouer encore avec toi.

Je suis inquiète pour toi. Tu me manques énormément.

J’aime L’enserpent, pourvu qu’il revienne !

Nous avons une petite devinette à partir d’un petit texte que nous avons écrit :

 « Je ne comprends pas ce qui se passe. La vague de boue m’emporte et je ne sais pas où je vais. J’arrive dans un endroit où l’eau est glacée, mon corps tremble puis s’adapte à la  température et soudain je me sens bien. Mon corps ondule dans l’eau, c’est doux et agréable. »

Avez-vous trouvé qui parle ?

Dans nos ateliers d’écriture, nous nous sommes inspirés de L’enserpent qui ressent des choses dans son corps avant l’arrivée de la coulée de boue pour imaginer ce que nous pouvons ressentir :

…Avant l’arrivée des éléments de la nature :

Quand la pluie arrive, je sens mon cœur battre très fort.

Quand la pluie arrive, je sens des fourmillements dans mes bras.

Quand le vent arrive, je sens l’air frais qui me caresse le dos.

Quand le soleil arrive, je sens une douleur envahir ma tête.

Quand la pluie arrive, je sens ma peau qui tremble.

Quand le vent arrive, je sens mes os se rétracter.

Quand le soleil arrive, je sens ma bouche se dessécher.

Quand la neige arrive, je claque des dents.

Quand une tempête arrive, je sens la peur monter en moi et la terre trembler sous mes pieds.

Quand la neige arrive, je sens des frissons dans ma gorge, puis dans mon corps.

Quand le soleil arrive, je sens ma tête tourner.

Quand le soleil arrive, je sens une brûlure au niveau de ma jambe.

 …Quand nous sommes dans un état particulier :

Quand je suis triste, je sens une boule dans ma gorge et dans mon ventre.

Quand je suis contente, je sens des vibrations dans mon corps.

Quand je suis amoureuse, je sens la chaleur m’envahir.

Quand je suis triste, je sens les larmes monter.

Dans le chapitre 6, nous trouvons que les pompiers sont arrivés très rapidement, cela nous surprend car il ne devait pas y avoir de réseau téléphonique et comme il n’y avait pas de randonneur, nous souhaiterions savoir qui a donné l’alerte. Serait-ce L’enserpent ?

Nous attendons avec impatience le prochain chapitre en espérant que l’entraineur de volley d’Héloïse ne s’est pas trop inquiété de l’absence de cette dernière !

Au plaisir de vous lire,

Les CM1 A