Bonjour à vous ! Je vous souhaite également une très bonne année 2019 !!!
Vous avez trouvé l’erreur avec « Enfanteau » et vous me demandez pourquoi je l’ai écrit comme cela, sans le « L » apostrophe au début du mot. Je vais vous répondre ceci : Je ne sais pas !
Tout ce que je sais, c’est que lorsque je l’ai écrit ainsi, c’était quelque part évident. C’est ce que j’aime dans l’écriture : c’est cette part de mystère qui entoure l’inspiration. Depuis, j’ai réfléchi. Je pense que dans « Enfanteau », on entend « Enfanter » et ce rapprochement m’a peut-être plu. Le pouvoir de Enfanteau est peut-être « d’enfanter » des vies de manière magique ? A réfléchir. Vous allez peut-être me dire : « Mais Eric, Enfanteau est mort dans l’histoire de L’enfaon. Tu ne peux pas le faire revenir ! ». Et si ! Je peux même en faire le héros d’un futur livre sur les Humanimaux que j’appellerai « Enfanteau ». J’y raconterai sa vie avant son décès dans « L’enfaon ». Mais tout ceci n’est qu’un projet. Revenons à L’enserpent !
S’il se recouvre de plus en plus d’écailles, c’est à cause de ses gènes de serpent à l’intérieur de son corps. Ce sont eux qui fabriquent ces écailles. Il ne peut pas faire autrement. C’est son corps qui décide. Donc, sa transformation n’a pas de rapport avec l’incident de la couleuvre et au fait qu’il l’ait touchée. En revanche, j’aime beaucoup l’idée qu’en touchant la tache d’Héloïse, ses écailles se multiplient. Il y aurait ainsi un rapport très puissant entre les deux héros. Une relation poétique. En tout cas, vous saurez dans les prochains chapitres s’il va devenir un vrai serpent, donc chuuut… je ne vous en dis pas plus.
J’ai trouvé vos poèmes poignants et très musicaux avec vos rimes. Bravo ! Bravo aussi pour vos nombreuses idées concernant la famille d’accueil de L’enserpent. Je me rends compte que l’histoire pourrait être beaucoup plus longue avec tout ce qu’il est possible de dire sur ce personnage et sur son entourage. Bonne lecture et à bientôt ! Eric
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