Bonjour !

J’ai compris que dans votre texte, c’était L’enserpent qui parlait. Il explique ce qu’il ressent au moment où il est emporté par la vague de boue. Je vois que vous avez imaginé ce que L’enserpent pouvait ressentir au contact des éléments naturels. Ce n’est pas si facile de se glisser dans la peau d’un personnage, surtout un serpent, (ou d’un crocodile !) mais vous y êtes arrivés ! Chapeau !

Dans le chapitre 6, la maîtresse donne l’alerte en téléphonant aux pompiers. On est dans le futur, à une époque où la surface de la terre est entièrement couverte par un réseau téléphonique. Peut-être pourriez-vous vous mettre à la place de la maîtresse et écrire ce qu’elle ressent et ce qu’elle pense après la disparition de L’enserpent, car après tout, c’est elle qui lui a permis d’intégrer la classe et elle s’est attaché à lui forcément.

Si vous le souhaitez, un pompier pourrait aussi expliquer les recherches effectuées et décrire le chaos dans la vallée en parlant des animaux tués ou blessés.

Enfin, je vous suggère de dessiner Héloïse telle que vous l’imaginerez à la fin de l’histoire. 

En tout cas, j’espère que la fin vous tiendra en haleine et surtout qu’elle vous plaira.

Amitiés, Eric